Canada told LGBT Iranian refugees to apply to the US. Then Trump happened

Envoyé par Comité de solidarité internationale - ALGI (CSI) en date du 06 février 2017 à 14h04

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Le journaliste Dylan C Robertson publie un article sur dailyxtra.com qui nous apprend que le gouvernement canadien a arrêté d'accepter des réfugiés LGBT iraniens parce qu'il priorise les réfugiés syriens. Donc, malgré les déclarations du gouvernement qui avait assuré que l'accueil des réfugiés syriens ne se ferait pas au détriment des autres catégories de réfugiés, on a maintenant la confirmation que des réfugiés aussi vulnérables que les réfugiés LGBT originaires d'Iran ne sont plus acceptés au Canada. Au service d'Immigration Canada à Ankara, on leur a même suggéré de postuler pour les USA. Or, voici que Trump vient de signer un décret contesté devant les tribunaux bloquant l'arrivée aux USA des personnes provenant d'un certain nombre de pays musulmans, dont l'Iran. Aussi, comme le rapporte le journaliste Guillaume St-Pierre du Journal de Montréal, Le gouvernement Trudeau refuse d’accueillir plus de réfugiés malgré le décret anti-immigration de Donald Trump, comme l’exige le Nouveau Parti démocratique (NPD), «afin que le Canada fasse sa part». Dans un discours passionné à la Chambre des communes, mardi soir, le chef du NPD Thomas Mulcair a accusé le premier ministre de défendre sur toutes les tribunes les valeurs canadiennes d’ouverture, sans être capable ensuite de passer de la parole aux actes. A protester in Washington, DC, objects to the Iranian government's treatment of LGBT people in 2006. Elvert Barnes/Flickr Mitra’s sanctuary is a mouldy basement in Turkey’s conservative heartland. The microbiology student’s life in northern Iran came crashing down in the summer of 2014, when she was outed as a lesbian. A neighbour beat Mitra, and her parents disowned her. Like thousands of LGBT Iranians, she fled to Turkey. The 27-year-old now works 14-hour shifts standing upright at a textile factory, before coming home to her transgender partner. The two women sleep on a folding sofa; they have just one plastic chair. Canada invited both to start a new life 14 months ago, when embassy staff in Turkey started a third-country resettlement application. But our country has now closed its doors, effectively suspending an informal program known worldwide for bringing scores of queer Iranians to safety. Over the past decade, hundreds of LGBT Iranians have come to Canada, mostly through UN resettlement. But this humanitarian pipeline has dried up as Canadian officials in Turkey focus their resources on bringing Syrians to Canada. Instead of welcoming them here, Canada has told LGBT Iranians like Mitra to try moving to the US, which President Donald Trump recently closed to all refugees, as well as to  Iranians already holding visas. Lire la suite sur dailyxtra.com

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