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http://fr.music.yahoo.com/010118/116/uenc.html (pour une audition) Deux version : Ce que je sais et Maintenant je sais.. Ce que je saisAuteurs : Jean-Loup Dabadie, Philipe Green Interprète : Jean Gabin, 1974 Quand j’étais gosse, haut comme trois pommes, J’parlais bien fort pour être un homme. J’disais : " Je sais … Je sais … Je sais … Je sais … " C’était le début, c’était l’printemps. Et quand j’ai eu mes dix-huit ans J’ai dit " Je sais, ça y est, cette fois je sais ". Et aujourd’hui, les jours où j’m’retourne J’regarde la terre où j’ai quand même fait les cent pas Et je n’sais toujours pas comment elle tourne. Vers vingt-cinq ans j’savais tout L’amour, les roses, la vie, les sous. Tiens oui, l’amour j’en avais fait tout l’tour Mais heureusement comme les copains J’avais pas mangé tout mon pain. C’que j’ai appris, ça tient en trois, quatre mots : Le jour où quelqu’un vous aime J’peux pas mieux dire : Il fait très bon, il fait très beau. C’est encore c’qui m’étonne dans la vie Moi qui suis à l’automne de ma vie On oublie tout : les soirs de tristesse Mais jamais un matin de tendresse. Toute ma jeunesse j’ai voulu dire " je sais " Seul’ment plus j’cherchais et moins j’savais Y a soixante coups qu’on sonné à l’horloge J’suis encore à ma fenêtre, j’regarde et j’interroge Maint’nant je sais, je sais qu’on n’sait jamais. La vie, l’amour, l’argent, les amis et les roses On n’sait jamais Ni la couleur des roses C’est tout c’que je sais Et ça, j’le sais. Source : BRUMELIN, André. Gabin, Édition Robert Laffont, p. 599. ================================= Une autre version MAINTENANT JE SAIS( Jean Gabin )Quand j'étais gosse, haut comme trois pommes, J'parlais bien fort pour être un homme J'disais, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS… C'était l'début, c'était l'printemps Mais quand j'ai eu mes dix-huit ans J'ai dit, JE SAIS, ça y est, Cette fois JE SAIS. Et aujourd'hui, les jours où je m'retourne J'regarde la terre où j'ai quand même fait les cent pas Et je n'sais toujours pas Comment elle tourne ! Vers vingt cinq ans, j'savais tout : L'amour, les roses, la vie, les sous Tiens oui l'amour ! J'en avais fait tout le tour ! Et heureusement, comme les copains, J'avais pas mangé tout mon pain : Au milieu de ma vie, J'ai encore appris. C'que j'ai appris, ça tient en trois, quatre mots : "Le jour où quelqu'un vous aime, il fait très beau, J'peux pas mieux dire, il fait très beau ! C'est encore ce qui m'étonne dans la vie, Moi qui suis à l'automne de ma vie, On oublie tant de soirs de tristesse Mais jamais un matin de tendresse ! Toute ma jeunesse, j'ai voulu dire JE SAIS Seulement, plus je cherchais, et puis moins j' savais. Il y a soixante coups qui ont sonné à l'horloge Je suis encore à ma fenêtre, je regarde, et j'm'interroge ? Maintenant JE SAIS, JE SAIS QU'ON NE SAIT JAMAIS ! La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses C'est tout c'que j'sais ! Mais ça, j'le SAIS... ! |
Avez-vous déjà renoncé à oser dire je t'aime parce que l'être aimé était plus jeune ou plus vieux que vous ? Il suffirait de presque rien Paroles: Jean-Max Rivière. Musique: Gérard Bourgeois 1968 Il suffirait de presque rien Peut-être dix années de moins Pour que je te dise je t'aime Que je te prenne par la main Pour t'amener à Saint-Germain T'offrir un autre café crème Mais pourquoi faire du cinéma Fillette allons regarde moi Et vois les rides qui nous séparent À quoi bon joué la comédie Du vieil amant qui rajeunit Toi-même ferais semblant d'y croire Vraiment de quoi aurions-nous l'air J'entends déjà les commentaires Elle est jolie Comment peut-il encore lui plaire Elle au printemps, lui en hiver Il suffirait de presque rien Pourtant personne tu le sais bien Ne repasse par sa jeunesse Ne sois pas stupide et comprends Si j'avais comme toi 20 ans Je te couvrirais de promesses Allons bon voilà ton sourire Qui tourne à l'eau et qui chavire Je ne veux pas que tu sois triste Imagine ta vie demain tout à côté d'un clown En train de faire son dernier tour de piste Vraiment de quoi aurais-tu l'air J'entends déjà les commentaires Elle est jolie Comment peut-il encore lui plaire Elle au printemps, lui en hiver C'est un autre que moi demain Qui t'amènera à Saint-Germain Prendre le premier café crème Il suffisait de presque rien Peut-être dix années de moins Pour que je te dise " je t'aime " -------------------------------------------------------------------------------- Ils ont interprété la chanson: Serge Reggiani (1968). Michel Noël (197?). Fernand Gignac (1975). Dan Bigras (1993). Patrick Normand (1997). Parution initiale: http://site.ifrance.com/leparolier/quebecois/classartistes/m/michelnoel.htm |
![]() (source "http://www.celineonline.com/images/cover01.gif") Lolita (Trop Jeune Pour Aimer) Tu dis qu' je suis trop jeune Pour vivre avec un homme Moi je te dis Je m'en fous, je m'en fous I love you Si tu ne veux pas prendre L'amour que je te donne Je pourrais te rendre fou, rendre fou Jusqu'au bout Lolita n'est pas trop jeune pour aimer N'est pas trop jeune pour se donner Quand le désir dévore son corps Jusqu'au bout de ses doigts Jamais trop jeune pour aimer Jamais trop jeune pour se donner Mais tu ignores le feu qui dort Au fond de moi Toutes ces nuits que j'ai passées Seule à te caresser Il faut que tu me les rendes, me les rendes Une à une Toutes ces nuits toute seule dans le noir De ma chambre À rêver que tu viens me prendre Me feras-tu encore attendre des jours, des mois Si tu ne viens pas, ce s'ra un autre Si ce n'est pas toi, ce s'ra ta faute Si je regrette toute ma vie Ma première nuit d'amour Trop jeune pour aimer Qu'est-ce que ça veut dire Lolita répond je m'en fous, je m'en fous I love you Durée : 4:21 Parole : Luc Plamondon Musique : Daniel Lavoie Édition : Mondon, Janvier Musique, Lilbec |