des centaines de jeunes femmes sont internées de force. - ARC, le 19 novembre 2011 à 10h38
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| des centaines de jeunes femmes sont internées de force. - ARC, le 19 novembre 2011 à 10h38
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des centaines de jeunes femmes sont internées de force.
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, Le Président de l'Équateur Rafael Correa a combattu l’homophobie en faisant adopter une nouvelle Constitution favorable à l’égalité des droits. Demandez-lui d’agir maintenant pour fermer ces "cliniques" de la torture. Le monde ouvre enfin les yeux sur la situation abominable que les militants LGBT et féministes dénoncent depuis des mois : en Équateur, dans des cliniques illégales, des "professionnels de santé" gardent de jeunes femmes prisonnières, leur faisant subir viols, tortures, privation de nourriture et passages à tabac.Pourquoi ? Pour les soigner de leur "maladie" : elles sont lesbiennes. Alors que, cet été, le gouvernement équatorien a fermé moins de trente cliniques à grand bruit, les militant-e-s nous disent qu’il en reste plus de 200 dans tout le pays, dans lesquelles des centaines de jeunes femmes sont internées de force. Des centaines de jeunes, en majorité des femmes, sont toujours en danger. Votre voix peut tout changer, et ensemble nous pouvons mettre fin à ces pratiques. Signez cette lettre pour demander la fermeture immédiate et définitive de ces cliniques. Nous la porterons au Président équatorien ainsi qu’au Président de la Commission interaméricaine des Droits de l’Homme. Si le Président Rafael Correa, qui a construit sa réputation sur des mesures progressistes, sait qu’il est scruté par la communauté internationale, il devra agir vite. www.allout.org/fr/ecuadorclinics Ces cliniques anti-homos existent dans le monde entier, même si toutes les grandes associations médicales et psychiatriques du monde les déclarent inutiles et surtout très dangereuses. Voilà à peine quelques semaines, une jeune femme équatorienne a témoigné avoir été internée pendant plusieurs mois dans une de ces cliniques. Elle y a été violée, des gardes lui ont jeté de l’eau et de l’urine sur le corps. Finalement, avec l’aide de sa mère, elle a pu être libérée. De nombreux parents forcent des jeunes à être mis en quarantaine dans ces cliniques de la honte, qui sont illégales aux yeux de la loi équatorienne. Les citoyens équatoriens ont récemment adopté une constitution progressiste et favorable aux droits des personnes homosexuelles qui a autorisé les unions civiles pour les couples de même sexe. Le pays compte également des lois très strictes sur la violence envers les femmes. Mais malgré la protection du législateur, ces cliniques parviennent à passer entre les mailles du filet. Les militants d’Équateur et leurs partenaires de Change.org et de Credo ont envoyé des pétitions au Ministre de la Santé pour mettre un terme à ces cliniques. Mais leur fermeture incombe à l’homme que les citoyens équatoriens ont élu pour faire respecter la loi : le Président Rafael Correa. Signez cette lettre urgente au Président équatorien et nous irons la lui porter avec nos partenaires sur place pour demander la fermeture immédiate et définitive des cliniques de la honte. Le Président Rafael Correa doit comprendre qu’il est sous pression de la communauté internationale et que fermer les yeux sur ce problème ne le fera pas disparaître. www.allout.org/fr/ecuadorclinics En avant ! PS : Le Président Rafael Correa a par le passé combattu l’homophobie en faisant adopter une nouvelle Constitution favorable à l’égalité des droits. Cliquez ici pour lui demander d’agir dès maintenant et mettre fin à ces "cliniques" de la torture. SOURCES: Equateur: Des cliniques torturent les lesbiennes pour les «guérir» M. le Ministre équatorien de la santé, fermez les « cliniques » qui torturent les personnes LGBT pour les « soigner » (en anglais) En Équateur, des gays dénoncent les cliniques destinées à changer leur orientation (en espagnol) Centres de "déshomosexualisation" : le règne de la maltraitance (en espagnol) L’Équateur adopte une nouvelle constitution qui autorise les unions civiles entre personnes de même sexe Des soins qui tuent (en anglais) Mouvement ex-gay : la fin ? (en anglais) 
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