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Puissante soirée au GDM

Envoyé par GDMANIMA en date du 03 mars 2001 à 12h17

(source "http://www.ithaca.edu/arthistory/143/vettii1226%2Ccopy.jpg")

Avec moins d'une vingtaine de participants, mais un excellent animateur, la soirée d'hier soir a été fertile en débats. D'emblée, l'angoisse de ne pouvoir hisser le drapeau de son pouvoir sexuel au mat de sa virilité a été convenue. L'impuissance passagère, qui résulte d'une trop grande consommation de substances (alcool, drogue, poppers) ou des situations spéciales (épuisement, stress, maladies bénignes, etc), n'inquiète pas outre mesure. Dans certains cas, la conquête d'un homme que l'on désirait trop ardemment depuis trop longtemps suscitait une telle excitation que leur drapeau tombait en berne ;o)) Chez d’autres, une simple aventure sexuelle que le partenaire voulait transformer en une rencontre amoureuse empreinte de romantisme avait pour effet d’att.nuer le désir et la puissance sexeulle. Dans toutes ces situations où apparaît une impuissance passagère et accidentelle, on est alors penaud, déçu d'avoir raté une occasion rêvé ou une stasfaction immédiate, et un tel échec semblait plus décevant dans le cas d'une aventure sans lendemain prévisible que dans le cadre d'une relation amoureuse stable où on peut remettre le tout au lendemain et parfois doubler la mise …;o)).

Par contre, l'impuissance personnelle ou celle d'un partenaire qui s’installe dans un couple et annonce l'absence ou la baisse du désir, semble plus préoccupante voire bouleversante ; comme un indice d'éloignement, de manque d'intérêt et appelle au dialogue. Même la simple impossibilité de jouir, d’atteindre l’orgasme avec le partenaire, indique un malaise dont il faut discuter; et ce même si certains peuvent simuler l’orgasme pour rassurer leur partenaire ( praticable dans le cas de pénétration ou dans la pénombre de la chambre à coucher ou de la chambrette de sauna ; une faculté qui n’est donc pas strictement féminine…contrairement à la croyance populaire ;O)) ) . Il faut d’autant plus y réfléchir seul ou à deux si la trique carbure en dehors du couple, au moindre regard d'un joli minet rue des Blancs manteaux dans le Marais ou d'un petit serin rue de la Visitation du Village ;o)) Impuissance, peut-être, mais tout se passe dans la tête et non dans le corps caverneux ! Faut donc voir côté « cœur » -- au sens figuré -- si on souhaite y remédier.

Naturellement, rien n'est blanc ou noir ici comme dans tous les autres sujets abordés au GDM : les expériences vécues, les sensibilités et les libidos différentes sont clairement ressortis au fil de la soirée.

L'impuissance issue de problèmes de santé est plus susceptible d'inquiéter, voire de stigmatiser un homme. Alcoolisme, drogue et tabagisme, d'une part, diabète, cancer de prostate, infections urinaires, maladies artérielles, etc. sont de tristes sources d'impuissance. La venue du Viagra et de ses semblables, les suppositoires pour l'urètre, les pompes (en usage chez les transsexuelles féminines devenues hommes) constituent des solutions modernes et heureuses.

Un élément important a toutefois fait consensus en final ; la faculté de bander est toujours un ingrédient majeur dans une bonne relation sexuelle. Elle démontre l'intérèt de l'autre pour soi, elle permet de parvenir à l'orgasme soi-même et d'avoir le plaisir de faire vibrer l'autre en lui procurant son orgasme, et elle demeure essentielle dans le cas où la sodomisation serait une pratique agréable pour un ou l'autre ou les deux partenaires, les godemichés ne pouvant compenser qu'à court terme le plaisir d'être enculé ou d'enculer dans un corps à corps liant. Pour les uns, l'amour véritable de l'autre peut combler le manque de tonus de son arme virile ; pour d'autre, des ratés occasionnels ne sont que drôles, mais elles deviennent franchement gênantes et laissent un goût d'insatisfaction réelle si elles s'inscrivent à demeure dans la relation. L'orgasme est une quête légitime dans une relation stable comme dans une aventure d'un soir, et puisque chez l'homme elle passe nécessairement par la capacité d'avoir des érections, il est tout aussi légitime de souhaiter, d'espérer, de vouloir bander aussi longtemps que cela puisse paraître possible, voire même jusque dans son cercueil, comme pour l'heureux Napoléon (réf. à une chansonnette gaillarde voulant que l'illustre Buonaparte bandait même dans son cercueil..;o)) Pauvre Joséphine !

N.B. : cette chansonnette au Québec attribue ce pouvoir à Napoléon, mais en France, la chanson originale concerne plutôt le père Dupanloup, un évêque français du XIXe siècle

http://www.ac-grenoble.fr/stismier/graisivaudan/dupanlou/MainDupa.html





À LIRE MAIS









POUR PERSONNE AVERTIE SEULEMENT
















Le père Dupanloup

L'père Dupanloup dans l'utérus
Était déjà si plein d'astuces
Que dans le ventre de sa mère,
Il suçait la queue de son père
Refrain:
Zut! Merd' ! Pine et Boxon!
L'père Dupanloup est un cochon!

L'père Dupanloup dans son berceau
Bandait déjà comme un taureau
Pour satisfaire ses caprices
Il enculait sa vieille nourrice... (au refrain)
L'père Dupanloup dans la cuisine
Battait les oeufs avec sa pine
Nom de dieu! Dit la cuisinière
Fous-moi la donc dans le derrière... (au refrain)
L'père Dupanloup à bicyclette
Faisait pas beaucoup d'kilomètres
Car sa longue pine qui traîne
Se prenait toujours dans la chaîne... (au refrain)
L'père Dupanloup monte en ballon
Mais il avait le système si long
Qu'a 300 mètres dans l'atmosphère
La peau de ses couilles traînait par terre... (au refrain)

L'père Dupanloup monte en bateau
Mais il avait l'système si beau
Qu'il avait bien cent mille grenouilles
A lui sucer la peau des couilles... (au refrain)
L'père Dupanloup dans un wagon
Se conduisait comme un cochon
Passant sa bite par la portière
Il éborgna la gard' barrière... (au refrain)
L'père Dupanloup à Zanzibar
Voulait montrer tout son bazar
Mais empèché par un' patrouille
Y n' put montrer qu'un' de ses couille... (au refrain)
L'père Dupanloup à l'Odéon
Se conduisait comme un cochon
On le voyait dans les coulisses
Enculer le pompier de service... (au refrain)
L'père Dupanloup à l'opéra
Fit tant de bruit qu'on l'en chassa
N'voulait-il pas de ses roupettes
Boucher l'tuyau des clarinettes... (au refrain)
L'père Dupanloup à l'institut
Ne voulait voir que des culs nus
Ne respectant aucune barrière
Il enculait tous ses confrères... (au refrain)
L'père Dupanloup dans un couvent
Avec sa queue s' lavait les dents
"Cochon, lui dit la soeur Alice
Prends-tu ton sperme pour dentifrice..." (au refrain)
L'père Dupanloup chez Citroên
Qu'a ses usines sur le quai d' Javel
Lui dit: "la Tour est bien trop p'tite
Fais donc ta réclame sur ma bite..." (au refrain)
L'père Dupanloup près de Luchon
Avait les poils du cul si longs
Que du haut de Superbagnères
Il tirait le funiculaire... (au refrain)
L'père Dupanloup a trois putains
Il en bais un' tous les matins
Et les deux autres font des tartines
Avec le fromage de sa pine... (au refrain)
Au vélodrome de Paris
Il remporta le premier prix
En f'sant un tour à bicyclette
Une rose au bout se sa quéquette... (au refrain)
Au passage de la Bérésina
L'père Dupanloup était par là
Mettant sa bite sur la rivière
Il fit passer l'armée entière... (au refrain)
L'père Dupanloup dans un tonneau
S'mit à bander comme un salaud
Passant sa bite par la bonde
Il dit:"Voilà le sauveur du monde!..." (au refrain)
A la prise de la Smalah
Dupanloup était encore là
On le cherchait devant, derrière,
Il enculait les dromadaires... (au refrain)
Pendant la grève des tramways
Il montra bien ce qu'il était
Pour aiguiller les grosses machines
Il appuyait avec sa pine... (au refrain)
L'père Dupanloup quand il fut vieux
Ne bandait plus qu'un jour sur deux
Il se coupa les couilles de rage
Pour en faire un sac de voyage... (au refrain)
L'père Dupanloup dans son cercueil
Bandait encore comme un chevreuil
Avec sa pine en arc de cercle
Il essayait d' soulever l' couvercle... (au refrain)
L'père Dupanloup au Paradis
Voulut baiser la Vierg' Marie
"Cré nom de Dieu! fit l'Eternel
Prends-tu mon ciel pour un bordel..." (au refrain)
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