Table des matières |
---|
|
(source "http://www.ithaca.edu/arthistory/143/vettii1226%2Ccopy.jpg") Avec moins d'une vingtaine de participants, mais un excellent animateur, la soirée d'hier soir a été fertile en débats. D'emblée, l'angoisse de ne pouvoir hisser le drapeau de son pouvoir sexuel au mat de sa virilité a été convenue. L'impuissance passagère, qui résulte d'une trop grande consommation de substances (alcool, drogue, poppers) ou des situations spéciales (épuisement, stress, maladies bénignes, etc), n'inquiète pas outre mesure. Dans certains cas, la conquête d'un homme que l'on désirait trop ardemment depuis trop longtemps suscitait une telle excitation que leur drapeau tombait en berne ;o)) Chez d’autres, une simple aventure sexuelle que le partenaire voulait transformer en une rencontre amoureuse empreinte de romantisme avait pour effet d’att.nuer le désir et la puissance sexeulle. Dans toutes ces situations où apparaît une impuissance passagère et accidentelle, on est alors penaud, déçu d'avoir raté une occasion rêvé ou une stasfaction immédiate, et un tel échec semblait plus décevant dans le cas d'une aventure sans lendemain prévisible que dans le cadre d'une relation amoureuse stable où on peut remettre le tout au lendemain et parfois doubler la mise …;o)). Par contre, l'impuissance personnelle ou celle d'un partenaire qui s’installe dans un couple et annonce l'absence ou la baisse du désir, semble plus préoccupante voire bouleversante ; comme un indice d'éloignement, de manque d'intérêt et appelle au dialogue. Même la simple impossibilité de jouir, d’atteindre l’orgasme avec le partenaire, indique un malaise dont il faut discuter; et ce même si certains peuvent simuler l’orgasme pour rassurer leur partenaire ( praticable dans le cas de pénétration ou dans la pénombre de la chambre à coucher ou de la chambrette de sauna ; une faculté qui n’est donc pas strictement féminine…contrairement à la croyance populaire ;O)) ) . Il faut d’autant plus y réfléchir seul ou à deux si la trique carbure en dehors du couple, au moindre regard d'un joli minet rue des Blancs manteaux dans le Marais ou d'un petit serin rue de la Visitation du Village ;o)) Impuissance, peut-être, mais tout se passe dans la tête et non dans le corps caverneux ! Faut donc voir côté « cœur » -- au sens figuré -- si on souhaite y remédier. Naturellement, rien n'est blanc ou noir ici comme dans tous les autres sujets abordés au GDM : les expériences vécues, les sensibilités et les libidos différentes sont clairement ressortis au fil de la soirée. L'impuissance issue de problèmes de santé est plus susceptible d'inquiéter, voire de stigmatiser un homme. Alcoolisme, drogue et tabagisme, d'une part, diabète, cancer de prostate, infections urinaires, maladies artérielles, etc. sont de tristes sources d'impuissance. La venue du Viagra et de ses semblables, les suppositoires pour l'urètre, les pompes (en usage chez les transsexuelles féminines devenues hommes) constituent des solutions modernes et heureuses. Un élément important a toutefois fait consensus en final ; la faculté de bander est toujours un ingrédient majeur dans une bonne relation sexuelle. Elle démontre l'intérèt de l'autre pour soi, elle permet de parvenir à l'orgasme soi-même et d'avoir le plaisir de faire vibrer l'autre en lui procurant son orgasme, et elle demeure essentielle dans le cas où la sodomisation serait une pratique agréable pour un ou l'autre ou les deux partenaires, les godemichés ne pouvant compenser qu'à court terme le plaisir d'être enculé ou d'enculer dans un corps à corps liant. Pour les uns, l'amour véritable de l'autre peut combler le manque de tonus de son arme virile ; pour d'autre, des ratés occasionnels ne sont que drôles, mais elles deviennent franchement gênantes et laissent un goût d'insatisfaction réelle si elles s'inscrivent à demeure dans la relation. L'orgasme est une quête légitime dans une relation stable comme dans une aventure d'un soir, et puisque chez l'homme elle passe nécessairement par la capacité d'avoir des érections, il est tout aussi légitime de souhaiter, d'espérer, de vouloir bander aussi longtemps que cela puisse paraître possible, voire même jusque dans son cercueil, comme pour l'heureux Napoléon (réf. à une chansonnette gaillarde voulant que l'illustre Buonaparte bandait même dans son cercueil..;o)) Pauvre Joséphine ! N.B. : cette chansonnette au Québec attribue ce pouvoir à Napoléon, mais en France, la chanson originale concerne plutôt le père Dupanloup, un évêque français du XIXe siècle http://www.ac-grenoble.fr/stismier/graisivaudan/dupanlou/MainDupa.html À LIRE MAIS POUR PERSONNE AVERTIE SEULEMENT Le père Dupanloup L'père Dupanloup dans l'utérus Était déjà si plein d'astuces Que dans le ventre de sa mère, Il suçait la queue de son père Refrain: Zut! Merd' ! Pine et Boxon! L'père Dupanloup est un cochon! L'père Dupanloup dans son berceau Bandait déjà comme un taureau Pour satisfaire ses caprices Il enculait sa vieille nourrice... (au refrain) L'père Dupanloup dans la cuisine Battait les oeufs avec sa pine Nom de dieu! Dit la cuisinière Fous-moi la donc dans le derrière... (au refrain) L'père Dupanloup à bicyclette Faisait pas beaucoup d'kilomètres Car sa longue pine qui traîne Se prenait toujours dans la chaîne... (au refrain) L'père Dupanloup monte en ballon Mais il avait le système si long Qu'a 300 mètres dans l'atmosphère La peau de ses couilles traînait par terre... (au refrain) L'père Dupanloup monte en bateau Mais il avait l'système si beau Qu'il avait bien cent mille grenouilles A lui sucer la peau des couilles... (au refrain) L'père Dupanloup dans un wagon Se conduisait comme un cochon Passant sa bite par la portière Il éborgna la gard' barrière... (au refrain) L'père Dupanloup à Zanzibar Voulait montrer tout son bazar Mais empèché par un' patrouille Y n' put montrer qu'un' de ses couille... (au refrain) L'père Dupanloup à l'Odéon Se conduisait comme un cochon On le voyait dans les coulisses Enculer le pompier de service... (au refrain) L'père Dupanloup à l'opéra Fit tant de bruit qu'on l'en chassa N'voulait-il pas de ses roupettes Boucher l'tuyau des clarinettes... (au refrain) L'père Dupanloup à l'institut Ne voulait voir que des culs nus Ne respectant aucune barrière Il enculait tous ses confrères... (au refrain) L'père Dupanloup dans un couvent Avec sa queue s' lavait les dents "Cochon, lui dit la soeur Alice Prends-tu ton sperme pour dentifrice..." (au refrain) L'père Dupanloup chez Citroên Qu'a ses usines sur le quai d' Javel Lui dit: "la Tour est bien trop p'tite Fais donc ta réclame sur ma bite..." (au refrain) L'père Dupanloup près de Luchon Avait les poils du cul si longs Que du haut de Superbagnères Il tirait le funiculaire... (au refrain) L'père Dupanloup a trois putains Il en bais un' tous les matins Et les deux autres font des tartines Avec le fromage de sa pine... (au refrain) Au vélodrome de Paris Il remporta le premier prix En f'sant un tour à bicyclette Une rose au bout se sa quéquette... (au refrain) Au passage de la Bérésina L'père Dupanloup était par là Mettant sa bite sur la rivière Il fit passer l'armée entière... (au refrain) L'père Dupanloup dans un tonneau S'mit à bander comme un salaud Passant sa bite par la bonde Il dit:"Voilà le sauveur du monde!..." (au refrain) A la prise de la Smalah Dupanloup était encore là On le cherchait devant, derrière, Il enculait les dromadaires... (au refrain) Pendant la grève des tramways Il montra bien ce qu'il était Pour aiguiller les grosses machines Il appuyait avec sa pine... (au refrain) L'père Dupanloup quand il fut vieux Ne bandait plus qu'un jour sur deux Il se coupa les couilles de rage Pour en faire un sac de voyage... (au refrain) L'père Dupanloup dans son cercueil Bandait encore comme un chevreuil Avec sa pine en arc de cercle Il essayait d' soulever l' couvercle... (au refrain) L'père Dupanloup au Paradis Voulut baiser la Vierg' Marie "Cré nom de Dieu! fit l'Eternel Prends-tu mon ciel pour un bordel..." (au refrain) |