NOUVELLE QUESTION DE LA SEMAINE

Envoyé par GDMANIMA en date du 07 novembre 1999 à 20h00

(source http://www.eyewire.com/dspl/ew/photo/bco/bco_004-1.jpg) Novembre ! Un mois un peu dur à prendre, un peu déprimant, qui prépare la dépression de février, dans mon cas à tout le moins... Le sentez-vous quand vous êtes down, déprimé/e, ou si ce sont les autres qui vous le font découvrir? Du genre; es-tu menstrué coudonc? As-tu perdu un chien de ta chienne ? Qu'est ce qui vous déprime ? Comment vous en sortez vous ? Des trucs ? Un sujet déprimant, mais qui ça vaut la peine de s'en parler, je crois.

Ben oui!

Envoyé par Solune en date du 07 novembre 1999 à 21h38 en réponse à NOUVELLE QUESTION DE LA SEMAINE (reçu de GDMANIMA le 07 novembre 1999 à 20h00).

T'as tout deviné..........zut! Oui, ben oui, je suis menstruée......fait que moi la déprime je ne connais pas parce que c'est le moment le plus évacuateur pour moi!!! lollllllllll!!!!! Non, la déprime de novembre ne me toucher pas........c'est que j'ai ces temps-ci c'est le blues des travaux à remettre qui sont pour dans quelques jours, et que je n'ai rien de fait parce que je ne suis pas "IN" pour les faire.........pffffffffff! Solune :-)

Déprime de novembre

Envoyé par Grand Marnier en date du 07 novembre 1999 à 20h46 en réponse à NOUVELLE QUESTION DE LA SEMAINE (reçu de GDMANIMA le 07 novembre 1999 à 20h00).

(source http://www.webgraphique.com/images/3-thumbnail/Av015_01.jpg) Bien sûr nous vivons de temps à autres des moments de déprime passagère et plus particulièrement dans mon cas au mois de novembre. Le mois le plus dépriment de l’année, si j’était riche, je m’en irait dans le sud. Aujourd’hui, dimanche avec une température pareille, il y a de quoi à être déprimé. Et quand quelqu’un t’appelle pour te dire qu’il est déprimé, c’est encore pire. Mais c’est une petite déprime qui ne dureras pas longtemps, du moins jusqu’à la fin de novembre. Mais je sais qu’il a pire que ça, la grande déprime, celle qui est quasi permanente et qui a besoin de soins. Je me souviens, il y a quelques années alors que j’étais sur mon retour d’un voyage à Sherbrooke, je fut pris soudainement d’une déprime qui remettait en question mon sens de la vie, de la mort. Ça n’a duré que quelques heures mais maudit que je filait mal. La même chose s’est reproduit lors d’un retour de voyage à Québec et lors d’un retour de voyage en Europe il y a cinq ans, la déprime a durée deux semaines. Il y a trois semaines, une autre expérience de déprime m’est apparue lorsque j’ai eu à côtoyer la mort. Le support de sympathie de certains d’entre vous m’a bien aidé. Certains diront que la déprime est une perception négative du monde extérieur mais il y a plus que ça dans bien des cas. C’est également une mauvaise chimie dans notre tête qui nous amène à être déprimé. Notre cerveau est très complexe et veut, veut pas, comme le cancer, un dérèglement de l’électro-chimie du cerveau peut nous amener sans le vouloir à une intense déprime. Hormis le problème cervical qui est plus complexe à régler, on peut s’en sortir de la déprime. L’aide externe peut nous aider mais ne peut pas nous guérir. On doit alors accepter notre problème, l’analyser et prendre des moyens. Je le dit bien, le bobo n’est pas externe mais bien à l’intérieur de soi.