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Musique

Envoyé par Farine en date du 2 novembre 1998 à 22h16
Avant que naisse un nouveau jour
Sur nos deux vies entrelacées
Avant de taire nos amours
Que le soleil devra chasser

Dis-moi le rythme de ton coeur
et la musique de ta main
Dis-moi le doux chant de ton corps
et la tendresse de ses refrains

Avant d'éteindre les étoiles
Sur cette nuit qui va mourir
Avant de remettre le voile
Sur la chanson de nos plaisirs

Dis-moi le rythme de ton coeur
et la musique de ta main
Dis-moi le doux chant de ton corps
et la tendresse de ses refrains

Avant que tu ne partes encore
Me laissant seule et sur ma faim
Avant que ne vienne l'aurore
Oh toi par qui j'existe enfin

Dis-moi le rythme de ton coeur
et la musique de ta main
Dis-moi le doux chant de ton corps
et la tendresse de ses refrains


Voilà.. j'espère que ça vous plaira..
Tout ce que je peux vous dire, c'est que ma blonde l'a aimé...

Aurevoir, Farine xxx

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Délicieuse musique...

Envoyé par Cocteau en date du 3 novembre 1998 à 17h33 en réponse à Musique (reçu de Farine le 2 novembre 1998 à 22h16).
Oui, il faudrait bien trouver le moyen de te mettre en contact avec un musicien pour transformer ces mots d'amour en une chanson d'amour... Encore et toujours, le poète s'émeut au son de si beaux échanges de tendresse..
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Dis...c'est une chanson aussi ?

Envoyé par omble en date du 3 novembre 1998 à 08h12 en réponse à Musique (reçu de Farine le 2 novembre 1998 à 22h16).
Bonjour Farine...

Un vrai délice ce poème...pas surprenant que ta
blonde l'ait aimé...Ce poème ferait une belle chanson aussi...tu y as pensé?

Et c'est alors même que le voile de la nuit,
étend son manteau gris sur ton sommeil,
que les étoiles, en veilleuse, s'émerveillent,
de la douceur nacrée de ta peau qui reluit,

Et c'est alors même que le vent s'amuse dans les feuilles,
et qu'enfin après mille détours, sans bruit,
il s'attarde sur ton corps en un frisson d'orgueil,
mêlant les effluves d'amour et les odeurs de vie,

Et c'est alors même que l'on entend le sabbat des grillons,
en un concert lancinant, primitif et sauvage,
que les notes une à une creusent leurs sillons,
dans les méandres secrets de tes rêves volages,

Et c'est alors même que l'aube naissante s'enhardie,
à jeter sur toutes choses une lueur timide,
qu'elle cueille impudente au coin de ta paupière allourdie,
une petite lumière vacillante et humide,

Et c'est alors même que le voile de la nuit,
étend son manteau gris sur mes rêves,
qu'il m'apporte enfin le repos que mon coeur fuit,
et que je rêve avec délice que je touche tes lèvres...


Omble xxx

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Une chanson?

Envoyé par Farine en date du 3 novembre 1998 à 11h20 en réponse à Dis...c'est une chanson aussi ? (reçu de omble le 3 novembre 1998 à 08h12).
Merci pour ton appréciation...

oufff... le tien est remarquable et je l'ai adoré...

Une chanson?... oui j'y ai déjà songé, mais je ne connais pas la musique... et personne dans mon entourage ne saurait le faire. Sait-on jamais!.. peut-être qu'un jour...

Merci d'avoir pris le temps de me lire et de m'avoir permis de découvrir le tien, j'aime beaucoup ton style...

Farine...xxx

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